L'association sur le terrain

Une place pour chaque enfant dans les écoles

Ce que nous faisons

Nous améliorons les conditions de scolarisation des enfants

Chaque projet a pour objectif l’amélioration des conditions matérielles et sanitaires de la scolarité des enfants de 3 à 12 ans des villages. Cela permet d’augmenter le taux de scolarisation des enfants, en particulier des petites filles, et de remobiliser les parents en faveur de l’école.

Les projets contribuent à atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) formalisés par l’ONU, particulièrement celui relatif à l’éducation (objectif 4), pilier du développement.

Le Comité Villageois de Développement, partenaire local dans le village bénéficiaire, est accompagné pour la mise en place d’activités génératrice de revenus. Lorsque la pérennité du projet est assuré, nous partons.

Chaque projet est construit autour de 3 axes.

Axe #1

— Amélioration des conditions matérielles de scolarisation

A – Par la rénovation ou la construction d’un établissement d’accueil, l’achat de mobiliers, le don de fournitures, etc, afin d’offrir aux élèves plus de confort.
B – Par l’électrification solaire des infrastructures afin de renforcer l’autonomie énergétique de l’école mais aussi d’augmenter les heures de classe et donc l’apprentissage.

Axe #2

— Amélioration des conditions sanitaires d'enseignement

A – La création d’une cantine scolaire, d’un potager et d’un poulailler qui permettent d’améliorer la concentration des enfants, d’obtenir de meilleurs résultats scolaires et de baisser le taux d’absentéisme.
B –
La création d’une unité de méthanisation (latrines associées à un biogesteur) qui fournit du biogaz nécessaire pour la cantine scolaire, de l’engrais pour le potager et, éventuellement, les autres cultures du village.
C – L’apport en eau

Axe #3

— Construction de logements pour les bénévoles et volontaires

Pour la communauté : selon le contexte local, renforcement de l’attractivité du village, par la construction d’un logement loué à des bénévoles et volontaires de passage dans le village (conférenciers, animateurs d’ateliers, professeurs de cours de soutien, etc.) ou au directeur de l’école, véritable commandant de bord de l’avion « école ».
Pour les mères du village : création de coopératives de fabrication de salons à base d’huiles végétales (palme rouge, karité, etc.), de maraîchage, d’élevage et toute autre activité permettant l’émancipation  sociale et financière de mères.

L'inclusion des femmes

Combattre le mariage des enfants

Le mariage des enfants concerne un enfant sur trois en Afrique subsaharienne. Une fille forcée de se marier alors qu’elle est enfant, est confrontée à des conséquences immédiates et permanentes. L’éducation peut donner la parole à ces filles et leur permettre d’exprimer leurs choix de vie.

Équilibrer les relations homme-femme

L’éducation aide également à rééquilibrer les relations homme-femme et refuser plus facilement certaines contraintes sociales injustes et accablantes régissant ce qu’elles peuvent faire ou ne pas faire.

Atteindre l'égalité homme-femme

Faire en sorte que le nombre de filles scolarisées augmente est le premier pas pour atteindre l’égalité homme-femme dans le monde du travail. Ça contribue aux objectifs visant à parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles.

L'autonomie des femmes

L’éducation joue un rôle crucial en permettant aux femmes de choisir combien d’enfants elles souhaitent avoir et espacer les naissances. Offrir aux filles non éduquées d’Afrique subsaharienne une éducation secondaire permet de baisser le nombre de naissances par femme.

Apprendre à se protéger

Les femmes éduquées sont nettement plus susceptibles d’être en mesure de protéger leurs enfants contre les maladies évitables et d’éviter la malnutrition pendant les premières années. La malnutrition n’est pas qu’une question d’alimentation mais aussi de scolarisation.

Participer à la revalorisation des femmes

Les femmes ayant fait des études primaires (partielles ou complètes) gagnent 14 à 19 % de plus que celles n’ayant pas fait d’études du tout. Les femmes ayant fait des études secondaires peuvent s’attendre à gagner presque deux fois plus, et celles ayant fait des études supérieures, près de trois fois plus que celles n’ayant pas fait d’étude du tout. 

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